Lorsque l’on devient coach, l’une des premières choses que l’on apprend, c’est de poser des questions plutôt que donner des réponses. Après la technique de poser des questions ouvertes, le coach apprend à poser des questions d’apprentissage, de découverte. Le coach apprend à accepter de « ne pas savoir », et à retrouver sa curiosité d’enfant pour poser des questions auxquelles il n’a pas de réponse. Pour améliorer cet aspect, je recommande la lecture du livre de Marilee Adams « Changez vos questions, changez votre vie : 10 puissants outils pour la vie personnelle et professionnelle ».

Les questions puissantes vont contribuer à la transformation du client. Pour avoir cet impact transformationnel, les questions du coach sont surtout spontanées et empreintes de bienveillance. Elles pourront amener le client, par exemple, à regarder sa situation autrement, à remettre en question des croyances, à prendre conscience de ce qu’il ressent ou ce qu’il apprend, à identifier ses déclencheurs, à se projeter dans le futur pour visualiser ce qu’il veut vraiment, etc.

Elles peuvent parfois ébranler le client, et donc, il est crucial que le coach réaffirme son soutien, sa bienveillance et le partenariat tout au long de la démarche. Pour donner toutes les chances de réussite à cette dynamique transformationnelle, je vous suggère le livre « Conversational Intelligence : How Great Leaders Build Trust and Get Extraordinary Results » de Judith E. Glaser.